« Le Grand Jour du Fado » approche.

On ne se souvient pas d’un tel événement, des milliers de touristes et d’amateurs de fado venus des quatre coins du monde sont attendus. Des managers de tout le pays travaillent à l’organisation de l’événement. Du nord au sud du Portugal, un, deux et même trois spectacles sont prévus simultanément. Ce seront des jours, des nuits et, parfois, des fêtes au petit matin !
L’échec est hors de question, et pour organiser le spectacle parfait, il faut choisir le meilleur artiste, le bon alignement, la mélodie parfaite et le plus approprié des scénarios. C’est le moment idéal pour certains managers, jusqu’ici inconnus, de montrer ce qu’ils valent.

Personne ne manquera et c’est votre moment de briller !

Le garum était une sauce de poisson fermentée utilisée comme condiment dans l’Antiquité ; sa fabrication et son exportation étaient un élément de prospérité et peut-être un facteur d’impulsion pour la pénétration romaine dans les régions côtières de la Lusitanie et de l’Hispanie.

Le garum du Portugal et de l’Espagne d’aujourd’hui était très prisé à Rome et a inspiré un jeu de société de stratégie polyvalent pour toute la famille, à partir de 8 ans, qui se joue de 2 à 4 joueurs. Le garum est un jeu de pose de tuiles, qui se joue en environ 30 minutes, il est indépendant du langage et offre une rejouabilité infinie, grâce à son système de plateau, qui garantit qu’aucun jeu ne se ressemble.

Sous le règne du roi Jean V, le Portugal était une puissance européenne majeure. Depuis le Brésil, le roi ordonna au sergent Melo Palheta de se rendre en Guyane française pour établir officiellement le traité d'Utrecht de 1713 et d'apporter secrètement des graines de café au Brésil. Le sergent réussit et en 1800, le Brésil était l'un des plus grands producteurs de café au monde.

Au début du XXe siècle, le café du Brésil, de São Tomé et Príncipe, d'Angola et de Timor est largement apprécié au Portugal et inspire l'apparition de cafés de prestige dans des lieux emblématiques qui attirent l'élite. Grâce au dévouement, au travail acharné et au savoir-faire, le XXe siècle portugais assiste à la naissance de l'une des plus grandes industries du café au monde.

Dans Café, 1 à 4 joueurs représentent des entreprises de café qui, de la plantation, du séchage, de la torréfaction et de la distribution, tentent de créer et de contrôler la meilleure chaîne d'approvisionnement du café.

L'industrie de la conserve portugaise s'est développée tout au long du XXe siècle, traversant des périodes de grande splendeur et d'une importance extraordinaire dans le tissu social des communautés proches des centres de pêche. Après l'énorme croissance due à l'immense approvisionnement de troupes en Europe que la Seconde Guerre mondiale a apporté, l'industrie a traversé une période de stabilité avec la consolidation de la qualité des produits et l'établissement de marchés à l'étranger.

Lata ("boîte de conserve" en français) est le nom de la matière première des conteneurs dans lesquels le poisson est emballé, et il s'est également avéré être une désignation populaire pour le produit. Dans ce jeu, les joueurs gèrent des conserveries locales dans les années 1950 et produisent et vendent les célèbres sardines en conserve ou maquereaux en conserve, les deux principales conserves de poisson des premières décennies de l'industrie, avant l'apparition du très populaire thon.

Le joueur avec le plus de points de victoire (PV), qui sont attribués à la fin de la partie par les cartes de score, gagne.

Dans ce jeu, les joueurs incarneront l'un des hétéronymes les plus célèbres de Pessoa (Alberto Caeiro, Ricardo Reis, Álvaro de Campos et Bernardo Soares), évoluant entre l'espace métaphysique de l'esprit de Pessoa et les espaces physiques de Lisbonne. Les joueurs s'inspireront de cafés emblématiques, visiteront des librairies pour élargir leurs bibliothèques et leurs connaissances et chercheront l'inspiration pour écrire des poèmes, gagnant ainsi des points de victoire. Le joueur ayant le plus de points de victoire à la fin de la partie est le gagnant.

À la fin du XIVe siècle, le roi Jean Ier de Portugal (D. João) ordonna la construction de l’un des monastères les plus élégants du pays, le monastère de Santa Maria da Vitória. De nombreux architectes, maîtres artisans et apprentis affluèrent de toute l’Europe. Certains étaient motivés par l’appel de la fortune, d’autres par la gloire, et tous avaient soif de connaissances.